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 Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~]

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Anonymous



Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~] Empty
MessageSujet: Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~]   Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~] EmptyLun 6 Avr - 23:37


 

 
HIDAN JINKO

 
Nom :
Jinko
Sexe :
Âge :
21 ans
Groupe :
Neutral Master
Race :
Humain
Métier :
Vendeur de serpent (officiellement)et d'arme (officieusement).
Orientation sex. :
Hétérosexuel
Statut social :
Riche (mais pas apparent.)

 
Pseudo :
Hidan ~
Âge :
18 ans
Tu nous as trouvé comment ? :
Mitsuooo~
Des suggestions ? :
Huumf, pas pour le moment.
D'autres comptes sur le forum ? :
Nowpe
Code du règlement :



A propos...

 
PHYSIQUE - Hidan est un jeune homme qui n'est pas des plus laid, il faut le dire. Il est un peu plus grand que la moyenne, mesurant environ 1m75, peut-être un peu plus, chose qui est assez rare de là d'où il vient. Il pèse environ 60 kilos, il n'est pas non plus très gros par rapport à sa taille en quelque sorte, il parait même un peu chétif. Il n'est pas particulièrement musclé, si ce n'est ce que la nature lui a donné en tout cas. Handicapé, Hidan ne possède pas de main droite, en fait même plus d'avant bras. Arraché depuis quelques temps, il pu tout de même bénéficier des avantages de la médecine et recevoir une prothèse articulée, lui permettant de retrouver l'usage de ce membre manquant par le biais de cette nouvelle main métallique. Pour ce qui est du reste du corps, il n'a pas de tatouage, de piercing, ou quoi que ce soit d'autre mais plusieurs cicatrices au niveau de son torse, d'anciens impacts de balle. Au niveau de son visage, il a les traits fins, c'est le moins qu'on puisse dire, quand il sourit il semble totalement bienveillant, même s'il ne fait que le sembler. Ses cheveux noirs sont coiffés en une petite queue de cheval à l'arrière, ses yeux sont jaunes, parfois un peu plus terne que d'habitude, et sous son œil droit se trouve un petit tatouage qu'il s'est fait il y a quelques temps. Si vous voyez son tee-shirt bougé seul, ne vous inquiétez pas, il s'agit de Danzo, son serpent domestique noir, inoffensif avec son maitre, il réagit pourtant très bien à l'ordre d'attaquer surtout quand il se sent menacé.
CARACTÈRE - Hidan est une personne serviable, gentille, très attentionnée, pleine de vie et surtout bienveillante avec ceux qui l'entourent. Enfin, il est prêt à faire ce genre de chose lorsqu'il doit rester sous sa couverture de gentil vendeur de reptile domestique, quand il met sa casquette de vendeur d'arme il est tout autrement, il est en fait naturel. Vrai stratège, il est très manipulateur, notamment par ses mensonge et la manière rassurante avec laquelle il vous parle, il saurait vendre une pétoire toute rouillé en la faisant passer pour un hachoir humain moderne et sans faille. Il est mauvais avec ses ennemis, si on tente de faire de l'ombre a son commerce il n'hésitera pas à envoyer quelqu'un pour mettre un terme au conflit de la manière des plus illégale possible. Il ne tisse pas forcement de lien avec les personnes, pour lui chaque humain a sa fonction et quand celle-ci ne lui sert en rien ou ne l'aide pas il s'en débarrasse, bien souvent sans remord, parfois avec des effusions de sang, rarement en de bon terme... Un peu paranoïaque sur les bords, il n'est pas facile d'obtenir sa confiance, même son propre garde du corps ne l'a pas totalement c'est pour dire. Il n'est pas réellement sensible à la gente féminine, mais réagira comme n'importe quel homme si une d'entre elle lui fait des avances. Pour terminer, il ne faut pas oublier qu'il est assez dangereux de par le métier qu'il pratique, traquer le serpent directement dans sa tanière pourrait bien mener à la mort même le plus courageux des enquêteur.
HISTOIRE - Connaitre mon histoire vous attirera plus de soucis qu'autre chose, mais comme c'est la règle je l'applique. Fils d'un grand marchand et d'une femme fatale sans emplois, voilà ce que je suis, un fils aimé de ses parents et éduqué principalement par sa mère. Héritier d'une grande compagnie, fils unique qui plus est, mes parents se devaient de me protéger au moins pour le profil commercial, heureusement aussi par attachement relationnel. J'allais a l'école comme tous les enfants normaux, j'étudiais et apprenait à parler comme un enfant normal et découvrait beaucoup de choses avec les enseignants. Vers mes huit ans, j'arrêtais d'aller à l'école, mon père m'expliquait que je ne devais plus sortir à cause de méchantes personnes qui me voudraient du mal, à cet age là on écoute simplement son père. Le temps passait et malgré l'ennui à la maison, un professeur passait souvent, une sorte de professeur particulier juste pour moi en quelque sorte, choisi par mon père.

Six ans passaient encore, je m'étais encore une fois pris une claque par mon père, je dis encore mais ca n'arrivait pas souvent, en tout cas pas souvent dans ces six précédentes années. Si j'avais reçu ce genre de correction c'était parce que je voulais sortir dehors pour aller voir des serpents dans une animalerie du centre ville, bien sur mon père avait refusé et j'ai essayé de sortir en douce, attrapé par les gardes. J'ai toujours aimé les reptiles, en particulier les serpents, je les trouvais majestueux, puissant tout en discrétion et surtout très malin, d'après ce que je pouvais en lire dans les livres un peu fantastique. Je comprenais d'ailleurs, à cet age là, que mon père trafiquait des choses pas très net en vendant des armes, et qu'il était donc recherché soit par la police qui tentaient d'avoir des preuves soit par des concurents du milieu cherchant à l'écraser. En tout cas, plus le temps passait plus mes cours déviaient sur le travail, et mon père prit en charge mon éducation professionnelle. Je ne vous parle pas beaucoup de ma mère n'est-ce pas ? Elle n'a malheureusement pas joué un si grand rôle dans mon enfance, elle m'a toujours aimé et bien traité, mais elle ne m'a jamais vraiment rien appris si ce n'est jouer la comédie et que l'argent était synonyme de pouvoir. Elle aimait vraiment mon père, autant qu'elle m'aimait moi, mais je reste persuadé que sans son argent elle ne serait jamais venu a lui au départ.

Deux ans plus tard, mon père me conviait à chacun de ses déplacement ou de ses ventes pour me montrer les ficelles du métier, manipuler les clients, s'assurer des paiement, mener la comptabilité, savoir me défendre, faire taire les clients trop ambitieux ou bavard, gérer les gardes du corps, connaitre la marchandise... Bien que l'enseignement élémentaire m'ait été inculqué certaines choses pouvaient encore m'échapper. J'ai par ailleurs tué ma première personne à cet age là, mon père m'a demandé de le faire pour me faire passer une sorte de rite, en fin de compte ce n'est pas ce concurrent au sac a patate sur la tête que j'ai tué, mais mon enfance ainsi que mon innocence. Ma vie continuait, mon père avait un fils dont il était fier, ma mère aussi, elle disait qu'elle retournerait bien en arrière pour être plus jeune et me draguer, evidemment elle disait ça pour rire. Pourtant, le sourire angélique que j'avais avant n'était plus qu'un visage mort d'expression, j'arrive a les simuler à présent, mais plus rien ne semble venir de manière naturelle... En fait cela s'est nettement dégradé avec le temps.

Ma majorité était enfin passée, enfin si on s'en réfère au fait que j'ai 18 ans, puisque dans mon pays je ne l'étais pas encore officiellement. J'aimerai effacer cette année de mon existence, je ne pouvais simplement pas me douter de ce qui allait arriver. Je prenais un bain, tout ce qu'il y a de plus normal pour un humain, je sortais ensuite de la salle de bain en serviette avant de me diriger vers ma chambre pour m'habiller, revenir ensuite dans le couloirs, je me rappelle clairement que je portais un costume assez classe puisque j'aimais avoir l'air raffiné, bien que totalement en miette je l'ai encore chez moi en passant... Je me rappelle avoir entendu du bruit au bout du couloir, comme si quelqu'un s'était cogné, inconscient je m'approchais pour voir ce qu'il se passait, et une personne sortit du couloir perpendiculaire, une arme a la main. Un fusil a pompe modèle MP-133 avec une poignée couramment utilisé par les forces d'intervention policière lors de protection rapproché, chargé avec des cartouches de 12, cette arme possède un chargeur de trois balle et permet d'en chambrer une pour un total de 4 et une mire ajustable pouvant monter jusqu'à une précision irréprochable à 150 mètres. La dispersion se fait environ à une quarantaine de mètres, une personne se prenant ce genre de tir a cette distance fini mort et criblé de balle quoi qu'il advienne. Par chance, mon père m'avait appris à reconnaitre les armes d'un coup d’œil comme vous le voyez, mais ca ne m'a pas empêché de bien réagir. Normalement j'aurais du sauter dans la pièce a ma gauche pour éviter le tir, puis sauter sur l'agresseur pour le désarmer alors qu'il serait en train de chambrer une seconde cartouche, mais la peur me tétanisait.

Un tir, je restais sans bouger, simplement un petit demi-tour sur la gauche pour essayer de fuir, le bras droit devant mon torse, je n'étais qu'à une petite dizaine de mètre à peine, les balles pénétrèrent mon bras droit, l'impact des 9 plombs de la cartouche créèrent des trous si distendus que mon bras se séparait en deux parties distinctes, trois autres de ces plombs pénétrèrent mon torse. Je tombais à la renverse en hurlant de douleur, le tireur lui essayait de recharger mais ne semblait pas avoir compter ses balles dans la panique, son chargeur était vide... Quelle ironie, si j'avais suivit une réaction normale je serais ressortit indemne et j'aurais eu largement le temps de le maitriser... J'étais totalement groggy, mais j'entendais des bruits de pas rapide, quelqu'un d'autre arrivait, j'entendais des bruits de pistolet. Bruit relatif à un tir de pistolet modèle Makarov chargé de 7 balle de .380 ACP avec une mire étendue avec des marquages et... Enfin, c'était l'arme de fonction de tous les hommes de mon père, il tira sept fois, vidant son chargeur sur le suspect avant de venir a mon secours.

A mon grand damn je restais conscient pendant tous le trajet, autant mes hurlements étaient en train de détruire mes cordes vocales, autant ils s'arrêtaient au fur et à mesure du trajet en ambulance, la douleur me faisant peu à peu perdre la conscience de l'intensité de la douleur. Je n'arrivais pas trop à suivre ce qu'il se disait, mais les médecins parlaient que mon bras allait être perdu, qu'il n'y avait pas d'espoir, que les poumons étaient peut-être touché. Au moins, si je devais mourir, j'étais déjà bien habillé, pas besoin de mettre mon corps sur son 31... Je m'endormais à cause de l’anesthésie puis me réveillait du lendemain, un bandage sur le torse, une enroulement sur mon bras, sur ce qu'il me restait de mon bras. Le bandage prenait fin, mon bras prenait fin, environ huit centimètre après le coude. Je regardais mon bras en pleurant, ma mère était heureuse que je me sois réveillé, mais moi je pleurais sans ne pouvoir m'arrêter en constatant l'étendue des dégâts. Droitier de base, je n'arrivais plus à manger correctement, ma mère insistait pour m'aider et je la laissais faire, mais dans la semaine qui suivait j'essayais de me prendre en main, accomplissant les tâches de la vie quotidienne avec mon bras gauche. Je devenais en quelque sorte autonome de la main gauche, même si au début je mettais par exemple une heure pour manger, ou alors on pensait que je me rasais quand je me lavais les dents a cause du barbouillage significatif au dentifrice. Mon père venait me rendre visite à de rare fois, son travail et sa sécurité étaient pour le moment compromis, il devait donc faire attention, il me certifiait pour autant qu'une surpris m'attendait à la maison.

Je sortais de l'hopital au bout d'un mois complet, une fois chez moi j'avais du mal à faire certaines choses, il m'arrivait encore de jeter mon bras droit en avant pour ouvrir une porte par exemple, terrassé par la vérité il m'arrivait parfois de pleurer encore en voyant mon bras. Pourtant une chose me donnait un sourire béat, c'était la surprise de mon père, un jeune serpent noir, au début il n'était pas plus long que mon bras coupé. Mon père essayait de me rassurer en disant des choses assez étrange, il comparait mon bras à un IZH43 dont on aurait scié le canon pour le rendre plus puissant en dispersion et maniable d'une seule main, chose comique puisqu'il ne m'en restait qu'une seule... Je continuais à vivre comme si de rien n'était, retournant peu a peu à la compréhension du travail de mon père, même ravagé par une blessure je n'allais pas abandonné pour autant.

Un an et demi passaient, durant ce temps là j'avais surpris tous le monde, j'avais fait de Danzo un vrai serpent de cirque, la bête mesurant à présent deux bons mètres et demis il se plaisait à s'enrouler autour de moi et s'intriguait de ma blessure. Bien que je n'ai jamais compris pourquoi, j'avais un lien étrange avec cet animal, surement parce que je restais toute la journée avec lui à la contempler dans son vivarium et être aux petits soins avec lui... Il me servait de main droite, s'enroulant autour de mon moignon pour étirer son corps, attrapant les poignets avec sa gueule pour me guider ou encore pour m'aider à manger (bien qu'il en profitait pour engloutir un peu de ma viande assez souvent...). C'est aussi dans cette période que mon père me proposais quelque chose, en relation avec un médecin. Une fois à l’hôpital on me demandait d'essayer un produit et s'il était concluant ils me le laisseraient et développerait la marchandise. C'était une prothèse articulé couvrant tout l'avant bras et la main, une opération du être faite pour qu'on puisse me la greffé, j'étais assez anxieux de porter ce genre de choses mais j'avais confiance en mon père et en ses relations. A mon réveil je pouvais a nouveau contempler ma main, enfin, une main artificielle. Cela me prit environ quatre mois de rééducation pour bien me débrouillé avec, à présent j'ai l'impression d'avoir retrouvé ma main avec des sensations en moins, tout simplement. Danzo était assez peu content de cette chose et essaye encore de la mordre parfois.

Environ 6 mois plus tard, je décidais de prendre ma vie en main. Les négociations avec mon père durèrent plus de la moitié de ce temps mais il fini par accepté mon projet. J'avais pour but de m'installer sur l'ile de Géolia, nouvellement découverte, pour étendre le commerce de mon père. Il me proposait de me fournir de la moitié de ses livraisons d'arme et de me confier trois de ses meilleurs gardes du corps, mais je n'en voulais qu'un seul, celui qui m'a sauvé la vie, Tatsui. En échange je lui assurait de donner de mes nouvelles de d'honorer le nom des Jinko, évidemment il bénéficierai aussi de 50% de mon chiffre d'affaire. Ma mère pleurait encore à l'aéroport, mais je devais faire ce qu'il me semblait juste, voler de mes propres ailes malgré qu'elles furent brisé un temps, et trouver le moyen de servir les projets de mon père. Danzo était surement en train de se morfondre dans la soute a cause de ne pas pouvoir venir avec moi en cabine et de devoir s'éloigner autant du sol mais il s'y est fait, a mon avis.

Une fois sur place, j'avais assez d'argent donné par mon père pour réaliser mon rêve, ouvrir une animalerie réservé uniquement pour la vente de serpent. Je rachetais donc un local animalier, refaisait tout l'agencement avec Tatsui qui n'avait pas l'air si enchanté et en un mois le "Snake Pen" voyait le jour. La cave, très bien dissimulé, servait de lieu de stockage pour les armes, enfin je l'appelle la cave mais c'est une sorte de vieux réseau avec des petites caches partout, Tatsui travaille encore dedans pour agrandir l'espace lorsque je joue mon rôle de vendeur. Un peu de temps après, je décidais de marquer mon réel changement de vie par un tatouage sous l’œil droit, simple mais signifiant beaucoup de choses pour moi, l'impact des balles, la division de la famille, ma nouvelle vie, mon choix de quitter le japon pour une ile plus petite. J'étais à présent un bon éleveur de serpent de toute origine et je vivais de leur simple amour, et de l'argent de mes clients aussi, malgré que seul un client sur cinq ne vienne pour acheter un animal...~
(c) Reira de Libre Graph'

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Kinsuke Yamaga
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Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~] Empty
MessageSujet: Re: Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~]   Hidan Jinko, quand d'angéliques sourire cachent de mauvaises actions. [Fini~] EmptyMar 7 Avr - 12:09

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